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Blog de Bryan

8 juin 2009

Présentation Crim’expo se présente comme un défi

Présentation

Crim’expo se présente comme un défi lancé au jeune public : il s’agit de prélever des indices pour reconstruire le scénario d’un crime. Au passage, on découvre quels sont les applications de la science aux affaires criminelles. Les élèves de 3ème 5 du collège Jean Jaurès ont visité cette exposition. Ils ont probablement révisé leurs positions sur les représentations invraisemblables que de nombreuses séries télévisées donnent de l’usage des techniques modernes d’investigation.

Au-delà de l’aspect technique des choses, ce qui nous a intéressé, c’est la démarche que suppose et le travail de la police scientifique et l’exposition Crim’expo telle qu’elle a été conçue. En effet, il s’agit à chaque fois de prélever différents indices, de les rassembler et de voir comment on peut les regrouper en faisceau, de telle sorte qu’ils puissent fonder une hypothèse crédible d’explication des faits épars observés. D’hypothèse en hypothèse, on progresse dans une enquête criminelle. Ce qui constituera la vérité finale n’est alors que l’hypothèse qui permet de rendre compte du plus grand nombre d’indices. Finalement, lorsque l’on chemine d’une scène de crime vers une hypothèse d’explication, on ne retrouve jamais ce qui a pu précisément se passer, tout au plus reconstruit-on un scénario vraisemblable.

Ce sont les mêmes processus qui sont en jeu dans la lecture. Un lecteur prélève des indices dans un texte ; de ces indices, il tire des hypothèses. Lire, c’est donc mener une enquête. Souvent, lecteurs experts que nous sommes, nous n’avons pas conscience de ce processus. Mais avec le récit policier, l’activité du lecteur réapparaît de façon explicite : nous vous proposons donc de mener l’enquête avec le récit produit par les élèves de 3ème 5. Il s’agira alors de répondre à cette simple question : qui est le meurtrier ?

En lecteur bienveillant, capable aussi de passer sur les inconséquences et approximations du texte, il faudra se défier des fausses évidences, savoir suivre les pistes les plus invraisemblables. Et surtout, ne pas oublier que si en matière criminelle, une seule vérité doit finalement s’imposer, quand il est question de lecture et d’interprétation, seule compte la sagacité d’un lecteur-enquêteur, sagacité qui doit s’exercer avec rigueur et imagination. Autrement dit, tout est possible…

Cette journée commençait par un déplacement chez le directeur de la Police Judiciaire de Versailles. La Police Scientifique de Versailles était enfin sur les lieux : James Brolick, enquêteur, avait insisté pour se charger de cette affaire, car il était un ami de la famille du directeur.

Dans une cave, pas n'importe laquelle, dans celle du directeur de la police scientifique, se trouvait un chien. Pas n'importe lequel : celui de la fille du directeur de la police scientifique. Il gisait dans son propre sang, étalé par terre sur le ventre.

Le chien se nommait Dadou, c'était un pitt bull, âgé de 13 ans, il vivait avec la famille Lebon depuis l'âge de 10 ans. Il était blanc, gros, avec la queue coupée, il avait une grosse tache noire sur l'œil droit. Il était plutôt « bavard » car il n'arrêtait pas d'aboyer la nuit et cela agaçait les voisins.

Brolick retrouva trois cartouches de balles de pistolet 9 mm magnum dont une, en plein milieu du ventre du chien. Le corps du chien n’avait pas été bougé, il devait être en train de dormir lorsque le tueur était entré discrètement. C'était en descendant à la cave que Madame Lebon avait découvert le cadavre devant les vélos cassés de sa fille.

Juste à côté, sur un bureau rempli de paperasse, avait été laissée une arme. L'arme du crime pensa l'enquêteur. C'était la même que le directeur, exactement ! Il la mit dans un sachet en plastique pour l'analyser au labo.

Les traces de pas à côté du chien furent analysées, mesurées. On retrouva une lentille de contact. Cette lentille sera analysée, elle aussi.

Le premier suspect était le directeur. Pourquoi ? Parce que c'était son arme, et que le crime avait eu lieu chez lui.

Brolick l'interrogea  :

« -Où étais-tu à l'heure du crime ?

- Pourquoi ? Tu m'accuses ? bégaya le directeur.

- Non, mais c'est mon travail, je dois te questionner... répondit l'inspecteur en le regardant.

- Mais tu sais que je suis innocent ! lâcha Lebon.

- On a retrouvé ton arme sur les lieux du crime...

- C'est bizarre, je l'avais laissée dans mon tiroir qui était fermé à clé, et la clé se trouvait sur mon bahut ...»

Le directeur s'énerva et refusa de répondre aux questions; son téléphone sonna, il répondit : « Allo...oui… oui… le prisonnier que j'avais mis en prison… ça fait deux ans… Quoi!!! Il a été libéré le jour du crime ?!? ok »

Le directeur de la P.J. raccrocha et se tourna vers l'inspecteur:

« - C'est fini? Je suis en train de t'interroger et tu réponds au téléphone !

- C'était un appel très important…répondit le directeur d'un ton énervé.

- Et à quoi ça va nous avancer dans notre enquête? ça nous fait perdre du temps!! »

Le directeur restait immobile, sans voix. Il était pâle. Il prenait conscience des événements, car toutes les preuves étaient contre lui, l'arme était à lui et puis le crime avait eu lieu chez lui. Il ne savait plus quoi dire pour prouver son innocence. Il murmura :

« - James ! Tu me crois toi, hein ?

- Il n'y a que tes empreintes sur l'arme et en plus c'est ton arme, pourquoi as-tu fait ça, t’as pensé à ta fille ?

- Je suis innocent, je lui ai moi-même offert ce chien, je ne vois pas pourquoi je le tuerais.

- On retrouve ton arme sur des paperasses, l'arme du crime ! Des traces de pas près du cadavre du chien...

- Mon arme c'est mon arme, je m'en sers quasiment tout les jours, donc c'est un peu normal que mes empreintes soient dessus, mais les traces de pas ne sont pas de ma pointure, de même que le contour de mes chaussures ne correspond pas aux chaussures qui sont sur la scène du crime !

- Pour l'arme, je peux rien y faire; mais je peux toujours essayer de savoir de qui proviennent les traces de pas. Est-ce que tu as des ennemis ? Qui pourrait bien t'en vouloir à ce point ? Faire subir ça à ta famille ?

- J'en sais rien... Il paraît qu'un ex-détenu que j'ai arrêté il y a longtemps rôde dans les parages. C'est le premier suspect qui me vient à l'esprit…

- Merci pour l'info. Mais une dernière question : pourquoi c'est ton arme qui a servi à tuer le chien ? Et pourquoi dans ta maison ?

- J'en sais rien, je suis au même point que toi...

- Sûrement quelqu'un que tu connais pour qu'il ait pu s'introduire chez toi sans que personne ne le remarque. D’autant plus qu’on a trouvé une lentille sur le lieu du crime, à ce que je sache personne n’en porte dans ta famille n'est ce pas ?

- Bien évidemment que personne n’en porte. Je prends très au sérieux cette enquête, car elle touche énormément ma famille et je ne tolérerai pas que le criminel s’en sorte indemne…

- Bien. Merci pour ta collaboration je vais faire de mon mieux, mais comme dit la procédure, je dois te demander de ne pas quitter le secteur… Si ça avance je te tiendrai au courant.»

Brolick se demandait toujours si le directeur n'était pas impliqué dans l'affaire. L'ex-prisonnier était également suspect.

Il rentra au bureau pour réfléchir. Il chercha l'adresse de l'ex-prisonnier, la trouva et décida d'aller lui poser des questions. Il y alla en vélo pour pouvoir prendre l'air. Il s'arrêta devant le numéro 11 de la rue de l'Indépendance américaine, posa son vélo, sonna à la porte. Un homme, grand, les cheveux blonds et les yeux marron, les bras tatoués, vint ouvrir. Le commissaire dit:

« - Vous êtes bien Victor Delacroix?

- Oui, répondit l'homme, étonné. »

Brolick lui dit qu'il avait des questions à lui poser à propos du meurtre du chien de la fille du directeur de la police scientifique. Et l'ex-prisonnier répondit : « Allez-y, posez vos questions qu'on en finisse. Vite fait, bien fait. 

- Où étiez-vous la vieille du crime?

- Je traînais, pourquoi?

- Pourquoi ? Parce que le chien du directeur a été tué

- Et?

- On vous soupçonne!

- Mais, j'ai rien fait !

- Que faisiez-vous alors devant la maison du directeur à l'heure du crime?

- Je prenais l'air…

- D'accord, vous resterez en garde à vue jusqu'à ce que l'on analyse les empreintes. »

Brolick envoya les empreintes au laboratoire. Et 48h plus tard, il reçut les résultats.

Il appela le directeur et lui demanda de venir : « J'ai une bonne nouvelle à t'annoncer. Les traces de pas autour du chien ont été analysées : ce ne sont pas les tiennes. Par contre, elles correspondent au pas de Victor Delacroix. »

Le lendemain, Brolick interrogea le Directeur et sa femme pour savoir s'ils n'avaient pas entendu un bruit suspect pendant la nuit. Ils n'avaient rien entendu. Puis, Brolick décida d'aller interroger les voisins. Arrivé sur place, il sonna à la porte, M. Dubois, surpris, ouvrit la porte. Ce dernier demanda à l'inspecteur ce qui se passait. Brolick répondit qu'il avait quelques questions à lui poser à propos du chien des voisins. M. Dubois invita Brolick à entrer.

« - Je vous écoute Inspecteur. » répondit Dubois en s'asseyant sur son fauteuil. L'inspecteur remarqua que la voisine ne pouvait pas beaucoup marcher parce qu'elle portait un plâtre, elle était tombée accidentellement de son vélo la semaine précédente. Le voisin, quant à lui, portait des lunettes de myope.

« - Donc, monsieur Dubois, que savez-vous sur Dadou, le chien de monsieur Lebon ? »

- Ben, le chien de monsieur Lebon est un chien merveilleux, c'est bien que leur fille ait un animal de compagnie. Il aboie beaucoup plus le soir, je ne peux dire pourquoi. Il aboie après quelque chose ou quelqu'un, mais je n'en sais pas plus.

- Avez-vous vu quelque chose de suspect au cours des derniers jours ?

- Et bien. . . Il aboie lorsqu'il ne connaît pas la personne, c'était ce que l'on avait vécu ma famille et moi lorsque nous nous sommes installés...»

-Avez-vous vu quelqu'un entrer dans la propriété de monsieur Lebon, il y a trois jours de là ?

- Non je n'ai vu personne entrer dans la propriété de monsieur Lebon, mis à par un homme blond

- Pouvez-vous me décrire cet homme ? demanda l'inspecteur, sortant un calepin ainsi qu'un crayon de papier pour prendre des notes.

Monsieur Dubois répondit qu'il était mince et grand à la fois avec une fine silhouette.

« - Avez-vous entendu du bruit la veille du crime ? reprit Brolick.

« - Oui, en sortant les poubelles, j'ai entendu des gens rire. J'ai d'abord pensé que c'était monsieur le Directeur et sa femme, mais lorsque j'ai vu un homme blond sortir de chez le directeur, je suis directement rentré chez moi. » L'inspecteur le remercia d'avoir répondu à ses questions, salua le couple et sortit. Il démarra sa voiture, et se mit à penser.

Par la suite, il essaya de rechercher l'ex-prisonnier; il était introuvable, c'est sûr qu'en sortant de prison. . . Brolick lança une alerte: toute personne ayant vu l'individu devait se faire connaître à la police judiciaire de Versailles.

Pendant ce temps-là, Julie Lebon alla chercher le courrier et le rapporta à son père. Parmi toutes ces lettres, il y avait des factures, des prospectus et une lettre sans expéditeur, il l'ouvrit, et lut : « tuer ton chien était une menace, la prochaine fois ce sera ton tour. Ne montre cette lettre à personne, sinon tu te mets en danger. » Des lettres découpées dans du journal, collées soigneusement sur la feuille, sans trace d'empreinte dansaient devant les yeux du directeur qui était effrayé. Il appela son ami, l'inspecteur Brolick et partagea cette lettre avec lui. Ce dernier prit la lettre pour l'analyser au laboratoire. Le lendemain, l'inspecteur réussit à mettre la main sur l'ex-prisonnier qui voulait quitter le pays, pour recommencer une nouvelle vie. Il fut interrogé, puis la P.J. fouilla même ses bagages pour voir s'ils découvriraient quelque chose de suspect. N'ayant rien trouvé, l’équipe alla perquisitionner chez lui mais sans succès. Il fut donc remis en liberté car il n'y avait pas de preuve contre lui mais il ne devait pas quitter le pays.

Comme l'enquête tournait trop en rond, James décida d'interroger la petite fille.

Il demanda à voir la fille du directeur, ce dernier se fit escorter avec sa fille jusqu'à James :

«  - James, pourquoi as-tu besoin d'interroger Julie ? dit le directeur en tremblant des mains.

- J'ai juste besoin de lui poser quelques questions, ça sera pas long!

Il interrogea la petite dans une pièce à part:

«  - Ça va Julie? Tu n'es pas trop triste?

- Dabou… il me manque.

- Oui, c'est normal, tu tenais à lui.

- Oui beaucoup.

- Ok, tu ne sais pas s’il y a quelqu'un qui n'aimait pas ton chien?

- Les voisins ne l'aiment pas trop.

- Quelques nuits avant ce drame, tu n'as rien vu ou entendu d'anormal ?

- Rien du tout.

- Les voisins m’ont dit que souvent le soir le chien se mettait à aboyer contre quelque chose ou quelqu'un. Tu sais pourquoi?

- Des fois, il aboyait quand je jouais avec lui, mais quand j' étais dans ma chambre et que Mike venait nous voir, j' entendais Dabou lui aboyer dessus.

- C' est qui Mike?

- Mike c'est un ami de maman.

- … et il venait souvent vous voir?

- Bah, souvent quand papa travaille il vient voir maman.

- Je te remercie Julie, on va aller voir ton papa. Une dernière question, est-ce qu'il porte des lentilles ?

-   …, il met des lunettes parfois.

- Merci. »

L'enquêteur nota toutes ses informations : « alors c'est pas lui », pensa-t-il. Il réfléchit longuement et se dit intérieurement : « pourquoi il n’y aurait pas un quatrième suspect ? »

Hypothèses sur le meurtrier : nom et mobile

Indices qui appuient mon hypothèse (citations du texte)

Conclusion : le meurtrier est…………………………………………………………

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18 mai 2009

Scène de crime Bryan ( Crim'nouvelle )

Écrit le 11/05/09 :

Cette journée commencer par un déplacement chez le directeur de la Police Judiciaire de Versailles car son chien avait été abattu. La Police Scientifique de Versailles était enfin sur les lieux. Un inspecteur dit au scientifique que le meurtre c'est passer dans la cave de la maison. Le chien a été abattu par balle avec l'arme du directeur de la PJ de Versailles. Une douille de beretta avait été retrouver sur la scène de crime. Le chien, un pit bull noir avec une tache marron derrière l'oreille droite. Il été plutôt bavard car il n'arrêtait pas d'aboyer la nuit et cela agaçait les voisins. Voici déjà des suspect pour James Brolick l'enquêteur charger de cette affaire, il a insister pour ce charger de cette affaire car il est un ami de la famille du directeur de la PJ de Versailles et qu'il est le parrain de Julie la fille et maîtresse du pit bull. Avant d'aller voir les voisins James s'interrogea a voir si le directeur de la PJ avait des ennemis probable. Il découvrit qu'un ex-prisonnier qui avait été mis en prison par le directeur de la PJ été dans les parage la veille du crime. James appris aussi que l'arme qui avait abattu le chien était celle du directeur de la PJ. Voici maintenant plein de suspect pour James.

Écrit le 18/05/09 :

James Interrogea Monsieur Lebon.
« _ Joey tu es suspecter de meurtre sur ton chien, réagis !!
_ Que veux-tu que je dise ? Tout est contre moi.
_ Mais les charges qui porte contre toi sont presque irrecevable devant un tribunal et tu le sais très bien car t'es empreinte son sur l'arme, normal c'est la tienne, et que c'est ton arme qui a tué mais on a pu te la prendre et la remettre ensuite.

_ Je sais mais dit moi qui croit que je n'ai pas tué mon ch...
_ Moi je te croit, dit James en le coupant net.

_ C'est gentil mais il ni a que toi alors, dit-il en le remerciant.

_ Joey, il me faut un échantillon de ton ADN pour comparé avec celle que l'on a trouver dans ta cave.
_ Pas de problème prend ce que tu veux j'accepterai tout, JE SUIS INNOCENT !! »

24 heures plus tard James pris Joey et l'emmena dans la salle d'interrogatoire:

« _ Joey J'ai reçu les résultat de l'analyse ADN.

_ Et alors qu'est ce qu'il y a ? Dit-il impatient de connaître le résultat.

_ Tu es hors de cause maintenant car ton ADN ne correspond pas a celle retrouver chez toi, dit-il avec enthousiasme.

_ Enfin je suis innocenter, je suis soulager, dit-il avec soulagement. »

James repris ses ancienne piste. Il commença par interroger les voisins. Une famille, la famille qui habite derrière chez le commissaire de la PJ. Il appris que c'était une famille idéal pas de problème de voisinage enfin pas avant que le chien débarque. Puisque depuis que le chien est arrivée chez les Lebon, les voisins n'arrête pas de porté plainte pour tapages nocturne. En interrogeant le père de la famille la plus suspecter, James appris que le voisin avait déjà tenter d'empoisonner le chien mais sans suite. Il avait ensuite mit la pression au directeur de la PJ pour faire piquer son chien. Mais se qui innocentait ce voisin c'est l'ADN car un cheveux avait été retrouver sur le lieu du crime. James Brolick lui préleva un cheveu et l'envoya au Labo. Un peu plus tard James appris au voisin qu'il était innocenter car son ADN ne correspondait pas a celle de l'assassin. James se chargea maintenant de retrouver l'ex-prisonnier qui était la la veille du crime. James le retrouva, il s'appelle Franck Dinotazio dit Francky. Il était au commissariat entrain de se faire interroger par James après un long et interminable interrogatoire. Mais après tout sa James fini par conclure que Francky est innocent car une lentille de contacte avait été retrouver sur le lieu du crime. Et Francky ne porte ni lentille ni lunette.

27 avril 2009

Consigne : Vous êtes femme de chambre pour une

Consigne : Vous êtes femme de chambre pour une riche famille. En une page de journal, racontez le vol d'un bijou dont vous êtes accusé injustement mais qui risque d' entraîner votre renvoi. Vous expliquerez précisément ce dont on vous accuse, vous évoquerez les tâches quotidiennes qui constituent votre travail et vous dénoncerez la conditions des gens de maison.( Bordeaux, 1900 )

Le 21 mai 1900,

Je suis employé chez les richissimes propriétaire du plus grand vins Bordelais. Cette nuit un des bijoux de Madame Richelieut a disparu tous les soupçons ce tourne vers moi, mais je peux vous l'assurez que je n'ai pas voler ce bijou. J'étais en train de faire la chambre du fils de Monsieur et Madame qui est parti chez un ami. Oui, je sais que mon travail doit être effectuer le matin tôt mais j'aime prendre de l'avance quand je peux et comme souvent, je ne dort pas beaucoup je m'avance dans mon travail. Je suis femme de chambre chez ce riche couple. Ils m'agacent tous le temps en train de crier après nous les employer de maison. Notre travail est très fatiguant alors que eux ne font même pas la récolte de leur vins c'est d'autre employer qui le font. Il ce prélasse toute la journée alors que nous trimons a notre tache. Je suis sur que c'est le fils de Ginette qui a pris le bijou de Madame Richelieut. Je vous dis sa car hier c'était mercredi et le mercredi nos employeurs ne sont pas chez eux donc Ginette prend son fils et le ramène sur notre lieu de travail ou aussi dit la maison des Richelieut. A cause de ce vol du bijou de Madame je peux perdre mon travail. En plus il n'est pas terrible sont bijou une vieille bague en diamant qui doit coutez beaucoup serte mais qui est immonde. Je suis accusé du vol de la bague de Madame car cette nuit au lieu de dormir j'ai fais la chambre du fils de Monsieur et de Madame. Mon travail consiste a faire le ménage dans les chambre a laver les sanitaire et la salle de bain donc je ne comprend pas pourquoi je suis accusé alors que je faisait mon travail.

6 avril 2009

Lucie sur le Paquebot Manöe.

Le 12 mai 1882,

Je suis toujours a bord du Manöe, le paquebot le plus jolie que j'ai vu jusque la. Cela fait maintenant 10 jours que nous naviguons pour aller jusqu'aux Brésil. Hier notre escale se faisait à Bombay en Inde. J'ai fait la rencontre d'un jeune homme ayant le même âge que moi, 28 ans. Il s 'appel Johnson. C'est un homme charmant. Je commence a en avoir plus que assez de faire mon travail sur ce bateau. C'est vrai que serveuse dans le bar du paquebot c'est très fatigant. Mais quand je repense au rencontre que j'ai faite. Mais pour moi la meilleurs et celle de Johnson. Le Manôe est le plus paradisiaque de tout les paquebot. aujourd'hui c'est mon jour de repos. J'espère voir Johnson, je pense que entre lui et moi il peut se passé quelque chose de fort. Il faut dire que j'en aurai bien envie. Il est maintenant 18h50 et je vient de revenir d'une balade avec Johnson sur le pont. A mais quel journée je vient de passé. Je suis heureuse car toute la journée je l'ai passé avec Johnson je ne pouvais pas espérer mieux. Il ma chouchouter toute la journée. Je suis décider a lui annoncer mes sentiments. C'est comme sa que ma journée se fini.


Le 28 mai 1882,

Il fait un temps de chien aujourd'hui, nous somme arriver en Italie hier soir. Je n'ai toujours pas déclarer ma flamme a Johnson. Mais arriver a Marseille je lui dirais. Donc dans 10 jours. Mais je pense que Johnson a les même sentiments que moi car hier sur le pont pendant notre balade quotidienne il ma embrassé. Que-est-ce-que j'étais heureuse. Je doit aller assurer le service du soir. Le bar-restaurant y attend plus de 120 personnes car un anniversaire est prévu.

Le 7 Juin 1882,

Sa y est nous venons de jeter l'encre. Nous sommes a Marseille. J'ai annoncer a Johnson que je l'aimais hier. Il ma dit que lui aussi il en avait pour moi. Je suis la femme la plus heureuse au monde en ce moment tout me sourit. Dans 5 jours nous serons en Espagne.


Le 12 Juin 1882,

Nous sommes en Espagne le voyage se passe très bien mais je suis malade je n'ai plus la force d'écrire. Dans 11 jours nous serons en Angleterre.


Le 23 Juin 1882,

Un des membre de l'équipage vient de mourir. C'était le mousse, il était très ami avec Johnson. Mon état commence a empirer et Johnson a les même symptôme que moi. Dans 21 jours nous serons au Canada.


Le 14 Juillet 1882,

Nous sommes au Canada. Je vais un peu mieux mais Johnson lui non. Encore 3 personnes sont morte des même symptômes que le mousse. Dans 19 jours nous serons en Floride.


Le 12 Août 1882, La Floride est déjà passé et maintenant nous allons au Iles Grenadines mais nous avons percuté un rocher et le bateau commence a coulé. Johnson est mort. Et moi aussi bientôt car nous avons découvert une épidémies de peste. Je vais envoyer ces pages dans une bouteille. Enfaite je m'appelle Lucie Audart .

30 mars 2009

Texte de Bryan A La Romain GAry

Consigne : A la manière de R. Gary, racontez une rencontre lorsque vous étiez enfant, qui a été importante pour l'enfant que vous étiez et décisive pour l'adolescent que vous étiez.

Une rencontre particulière.

Ce jour la je ne pourrai jamais l'oublier. J'étais âgé de 8 ans quand je fus foudroyer par le grand Cupidon. Cette passion que j'avais pour ma bien-aimer était d'une violence incroyable.
Ma princesse se nommait Julie. Elle était la plus magnifique des sublime filles. Je venait d'arriver a Perpignan. Je fus mon entrer dans ma nouvelle classe, j'étais très anxieux à l'idée que mes nouveau camarades ne m'apprécie pas. Lorsque le directeur de l'école me dit d'entrer je devint rouge de panique. Quand j'entrai dans la classe mes yeux bleu fut accrocher par le regard d'une fille extrêmement jolie. Le professeur me demanda de me présenter. Après une grande hésitation causer par la panique, je me mit a me lancer.
« _Bonjour, je m'appelle Kenny, je viens de Paris, j'ai 8 ans et je viens d'arriver a Perpignan ».
Seul deux personnes me souhaitèrent la bienvenue. C'est deux personnes étaient Loïc et Lucie. Loïc était mon meilleur ami et Lucie était celle sur qui j'avais flasher. En la voyant je sus que l'amour m'avait frapper. Sa faisait déjà 2 mois que j'étais à Perpignan. Mon amour pour Lucie était plus fort que jamais. Au bout de 3 mois que j'habitais a Perpignan, je décidais enfin de déclarer ma flamme a Lucie. Il étais maintenant 15h quand je la vu arriver. Mon cœur battait la chamade. Je ne pouvais plus me dégonflé malgré le mélange de peur et d'amour je me mit a lui dire que je l'aimais et que je voulais sortir avec elle. Elle se fut prendre d'un silence infinissable. Puis son souffle repris. Elle me répondit enfin. Elle me dit que nous étions de bon ami et rien d'autre pour elle. Mais que elle ne voulais pas gâcher notre amitié pour une histoire d'amour.
Depuis se jour je compris qu'il ne faut jamais mêler amitié et amour ces deux là ne font pas bon ménage.


Bryan Bellet.

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23 mars 2009

Commentaire sur mon stage

plombiersCommentaire sur le stage :

Ce que j'ai pu apprendre au court de mon stage c'est que le métier de plombier est un dur métier qui faut avoir les capacités requise. C'est un métier que j'aime et que je voudrait exercé plus tard. Il y a des choses que des plombiers de l'entreprise ou j'étais on fait qui n'est pas bien vis a vis du client. Par exemple une dame âgé avait une fuite minime au niveau de ses tuyaux de chauffage. Puis le plombier n'avait cas faire une petite soudure mais NON !! Il en a profiter pour faire payer plus a la dame. Il lui a sorti une excuse du genre:
« _Madame si nous ne vous changeons pas votre installations de chauffage vous pourriez avoir de gros soucis ».
La dame ayant peur lui dit d'accord pour refaire l'installation. Mais il n'y avait aucun besoin de refaire tous sa !
Donc les raison pour lesquels je veux faire ce métier c'est parce qu'il me plait que c'est un métier que j'aime mais aussi pour rendre justice du travail de plombier. Ce que sous entend c'est que je veut réparer les injustices qui on était faite aux clients. Je c'est que ce que je dit la peut paraître stupide car je sait très bien que je ne pourrai pas réparer toute les injustice commise aux clients, mais bon au moins ne pas commettre d'injustice aux clients que j'aurais sa c'est mon but !!
Ce que j'ai pu voir aussi c'est de bon plombier, des plombier qui font un travail propre , qui n'ai pas bâclé vite pour ne pas finir plutôt. Mais ce que j'ai apprécié
c'est le rapport client-plombier c'est un rapport avec du respect mais aussi avec comme une petite touche d'amitié. J'aime le travail qu'effectue le plombier car c'est un travail passionnant pour moi. Dans le métier de plombier il y a deux type de plombier, le plombier de dépannage et le plombier des gros chantiers. Celui qui forme le mieux c'est le plombier des chantiers car on apprend plein de truc sur les chantiers. Mais celui que je préfère c'est le plombier des dépannage car le plombier des dépannage bouge partout il y a un vrai contact comme je l'ai dit avec le clients et c'est se que j'ai en particuliers chez le métier de plombier. Vous allez peut-être vous demandez pourquoi ne pas faire vente alors puisque j'aime le contact avec le client bien tous simplement car plombier est un métier assez physique et que j'aime les métier physique alors que la vente...Voilà ce que j'ai pu vous racontez de mon stage peut être que le texte vous a plus ou non en faite je m'en fiche a moi il me plait et pour moi c'est le plus important.

17 mars 2009

Deuxième SemaiiNe De StaGe : ( Du 16/03 au 20/03 )

5835419186LunDii 16 MarS : MATIN & APRèS MIDI : Préparation du travail de renovation de l'intallation sanitaire.

MArDii 17 MarS : MATIN : Changement de plasse du conteur d'eau.
                         APRèS MIDI : CHangement de tuyaux de chauffage car fuite.

Mercredii 18 MarS : MATIN & après midi : Travaux d'installation sanitaire

Jeudii 19 MarS : MATIN : Dépannage Plomberie
                        AprèS MiDi : Travaux sur renovation salle de bain

VenDreDii 20 MarS : MAtin & AprèS MiDi : Dépannage Plomberie

16 mars 2009

Ma Premiere Semaine De Stage : ( Du 09 MarS au 13 MarS )

plombierLundi 09 MarS : MATIN : Pour mon premier jour de stage j'ai été chez un client a la courneuve pour lui changer son sanibroyeur
                       Après-Midi : J'ai été chez un client a Drancy pour reparer une fuite de son chauffe-eau.

MarDi 10 MarS : MATIN & APRèS MIDI : J'ai été chez une cliente a PARIS pour lui refaire toute son installation d'évier & changer son robinet.

Mercredi 11 MarS : MATIN : J'ai été chez plusieurs client une a coté du CIFAP De PANTIN Car son WC avait une fuite au niveau de l'arrivée d'eau.Une Aute cliente a LA COURNEUVE Pour un RAmonage de conduit de chauffe-eau + entretient de son chauffe-eau.
                           AprèS MIDI : J'ai été dans plusieurs entreprise pour leurs revision de chaudière.

Jeudii 12 MarS : MATIN : REVISION DE CHAUDIèRE ( PLUSIEURS CLIENTS )
                      AprèS MIDI : REPARATION DE FUITE SUR EVIER

Vendredi 13 MarS : MATIN : POSE DE CHAUFFE-BAIN ET DE GRILLE DE VENTILLATION.
                            APrèS MIDI : REVISION CHAUDIERE ( PLUSIEURS CLIENTS )

2 mars 2009

Première

Bryan Bellet,

Le 02/02/09 à PANTIN,

Si j'écris, si je m'exprime c'est pour dire aux gens que vivre dans une banlieue ce n'est pas que des soucis, c'est aussi des bons moments passés avec les potes. Je vis à Bobigny, Cité « La Ruche » ou plus précisément quartier Pont De Pierre. La banlieue, c'est vrai qu'il y en a qui font les caïds, mais en vrai ils sont gentils. Dans la cité, on aime bien faire du KX 85 avec Maxon. Maxon c'est un mec de ma cité. C'est bruyant de faire du cross mais ça imp_chatearouxnous amuse, ça fait passer le temps. La banlieue il y a trop de clichés, préjugés dessus maintenant à cause des émeutes qu'il y avait avant. Moi je dis, toutes les personnes qui portent des préjugés sur la banlieue, elles devraient venir voir ce que c'est la vraie banlieue. Je vous parle pas de celle de la télé mais de celle où on se retrouve dans la rue entre potes. La banlieue pour nous c'est mieux que la campagne au moins nous on a du réseau sur les portables, on habite pas un bled perdu.

Depuis les émeutes, les vieux bourgeois, là, ils croisent un type sapé en survêt' et casquette et ça y est pour eux c'est un délinquant. Moi je dis ces gens faudrait les faire vivre dans la banlieue, qu'ils comprennent.

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